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( J'ai oublié de me plaindre quand ça en valait la peine. ) GABRIELLE


Gabrielle Kapel
Commandant
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Violet Evergarden
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© cheshireftw, vincent (merci vous deux ♥︎), vertigo

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Commandant
Gabrielle Kapel


Dim 11 Fév - 15:42
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KAPEL GABRIELLE
Ce sera la guerre. Tu tiendras l'arme et je te donnerai les balles. Alors respires, et embrasses la beauté du massacre.
SOCIABILITÉ — 7/10
INTELLIGENCE — 6/10
NÉGOCIATION — 5/10
DEXTÉRITÉ — 9/10
ARME À FEU — 9/10
DÉFENSE — 4/10
FT
Violet Evergarden.
nom
Kapel, nom de jeune fille de sa mère.
prénom
Gabrielle, Clotilde. On choisit rarement ses prénoms.
pseudo
Aucun. Quoique certains chuchotent peut-être « Manchot » derrière son dos.
âge
Vingt-huit ans.
sexe
Femme.
nationalité & lieu de vie
Alkarienne, réside à.
origines
Alkaro-Leistungniennes.

sexualité
Inconnue au bataillon. L'on pencherait pour Hétérosexuelle mais l'on peut toujours être surpris avec elle.
situation maritale
Célibataire, mariée à son travail.
situation financière
Bonne.

groupe
Armée.
rôle
Commandant, Tireuse d'Élite.
rang
Rang 5.

signe(s) distinctif(s)
Accidentée lors d'une bataille, Gabrielle y perdit ses deux bras. Elle a aujourd'hui deux automails à la place, cachés la plupart du temps par des habits couvrants ainsi que des gants.

que pense ton personnage de l'ancien gouvernement et des soulèvements ?
Elle ne le comprenait pas, se sentait ballotté d’une bataille à l’autre. L’ancien gouvernement était belliqueux, fier, bien trop d’ego pour accepter une défaite ou une trêve. Gabrielle aurait eu tendance à se dire qu’il fallait séparer État et Armée, mais s’est rendue compte avec le temps que seul un militaire pouvait en comprendre un autre. Elle a davantage confiance en quelqu’un étant déjà allé sur le front qu’un bureaucrate. Mais la jeune femme possède ses réserves et en aura tant qu’une solution n’aura pas été mise en place. L’Armée est en service depuis bien trop longtemps, il y a dans leurs rangs des héros qui sont à la fois des meurtriers. Il y a pour elle des procès qui doivent être fait, afin d’apaiser les tensions. Les soulèvements ont été un moment compliqué car tout bon soldat obéit aux ordres, qu’importe son opinion. Le principe même de cet événement a été d’aller contre leurs fondements. Si elle a été perplexe aux débuts et a favorisé la passivité, elle finit éventuellement par rejoindre le mouvement mis en marche.  
caractère


Gabrielle,
la petite fiancée des macchabée. Qui ne cesse de se débattre au grès des caprices des autres, car tu es une acharnée, une demandeuse de défis dont l’appétit ne se tait jamais. Esprit iridescent pour corps décharné, te voilà dorénavant tutrice de ta propre destruction, protectrice d’une division de bras armés. Et Gabrielle, tu te tempère, te modère pour éviter de tout gâcher. Car si la discipline t’as formatée, tu gardes de ta jeunesse un sentiment d’inachevé, de longs regrets.

On te considère maternelle, car l’on retrouve en toi une bienveillance pudiquement exprimée, étriquée par la hiérarchie que tu es. Il y a une retenue dans ta manière de remercier, de rire avec gravité. Mais la vérité au creux de tes œillades rassurantes et amusées dépeint avec ironie ta réalité. Tu ne seras jamais mère et si le sujet n’aurait pas dû effleurer tes jeunes années, la soudaine impossibilité a su te marquer, creuser un manque qui n’aurait dû exister.

Libérée de toutes obligations de vie, tu as su te perdre immédiatement et efficacement dans ce qu’il te restait. Et à y repenser, tu détestes la prétentieuse que tu étais, qui pensait tout posséder. Ignorante, amusée par la facilité, tu aurais pourtant désiré faire parti de ces enfants gâtés, même le temps de quelques étés. Car des séquelles que tu as gardé de tes bras arrachés demeure ce sentiment d’incapacité, d’impossibilité. Avec eux sont parti la sensation de toucher, la proportion à accomplir, à se lier.

À te croire trop aimante, trop patiente, l’on oublie ta proportion à annihiler. À délier les vies sur le champs et les vocations lors des entraînements. Tu ne veux garder auprès de toi que ceux capable de supporter la réalité, de sentir l’odeur de la chaire brûlée et de garder imprimé dans leur rétine toutes les atrocités. Car même avec un genoux à terre, tu iras leur tendre ta main de fer avec ton regard bienveillant en écrin.

Si le sentiment que ta profession t’as douloureusement volée tu ne peux dire que celle-ci n’a jamais rien su t’apporter. Respectueuse de l’institution, tu y déverses pourtant des sous-entendus cinglants. Des regards comme des nœuds coulants autour des nuques de ceux que tu considères criminels plutôt que héros. Et tu es la première à te voir comme future bagnarde à purger une peine qui sera la tienne. Car tu sais que lorsque l’on t’auras usée, tu iras déposer peines et démission afin de conclure cette vie d’aberrations.

Derrière ta nonchalance grave et l’expression pudique de tes sentiments, tu as développé un cabinet de curiosités, une petite boîte des horreurs dans laquelle tu y ranges tes faiblesses et ta laideur. Tout ce qui n’est plus supportable à ton œil est rangé dans l’espoir d’être occulté. Car la confiance que tu as logée dans les mains d’autrui ne doit pas souffrir de ta propre défiance. Œillères portées avec indifférence, tu noies dorénavant tes propres questionnements dans la fumée des tabatières.
facts
Lors de son accident, elle aurait dû subir une retraite précoce. Rééducation oblige, elle mit un temps fou à se faire à ses prothèses. Elle oscilla entre enthousiasme débordant et désespoir hystérique durant ce temps d’adaptation. Est terre à terre en ce qui concerne les Alchimistes. Si ceux-ci les dépasse largement en terme de capacités, un homme avec une balle dans la tête reste un homme mort, Alchimie ou non. Trouve qu’ils possèdent tous un grain de folie, loin de trouver ça désagréable. Gabrielle ne touche pas les gens, elle n’ose pas. Car n’importe qui sait faire la différence entre une poigne faite de chaire et de sang et une autre faite de fer et d’écrous. N’avouera jamais qu’elle possède un côté fleur bleue. Est une force tranquille. Noue et natte ses cheveux avec un ruban. Excentricité féminine qu’elle s’est permise et qui fait sa signature. A tendance à oublier qu’elle possède des poings de fer lorsqu’elle vous tape dans le dos.
Histoire
« Tu fumais pas avant, si? »

Il y a un rire grave en guise de réponse tandis que la pièce s’enfume dangereusement. « Tout change. J’avais deux bras aussi, avant. Allume-la moi au lieu de raconter des bêtises, tu veux? » Ricanement cristallin derrière des mèches blondes mal-assemblées qu’elle tente de secouer afin de les virer de son champ de vision. « Je te demanderais plus de nouer mes cheveux. C’est n’importe quoi. » La fenêtre derrière le lit est entrouverte et sa nuque reposant sur le dessus-de-lit en bois s’étire. Elle aperçoit du bout des yeux l’extérieur et la vue semble réconfortante. «Ils veulent me mettre à la retraite, je le sais bien. T’es pas seulement venu pour voir comment j’allais, regarde-toi. T’es tout guindé, droit comme un i, ça se voit que t’as des ordres sur la conscience. Un militaire ment pas, va. » Et un sourire léger, une fine parenthèse se dessine sur tes lèvres sèches.

Le faux optimisme est l’un des plus grinçants et insupportable. Car l’on sent derrière sa façade quelque chose de laid, de profondément enfouie qui risque d’éclater au visage. Accidentée lors d’une bataille, les lits d’hôpitaux sont devenus ta nouvelle maison, ton lieu de tenaille. Les semaines se sont écoulées et toi tu as oscillé. Simple tronc allongé, tu as écopé de nombreuses visites. Et même dans la honte, l’embarras, t’as étouffé ton traumatisme dans une dérision fracassante. Parce qu’on t’as appris à bien te tenir.

Face aux autres, t’es souriante, légère. Tu sembles accepter la chose, t’y faire. Mais à peine les dos tournés, t’es amère, voir cruelle. Tu te tords, tes râles sont plaintifs, tu te sens infantilisée, terminée, en fin de vie. Sénescente au visage encore juvénile, tu as refusé qu’on puisse t’oublier, te ranger. Le temps est long lorsqu’on est alité, que chaque action nécessite une assistance. Alors tu as cogité. Tu t’es souvenue de l’atelier où travaillait ta mère, de la devanture boisée. Si le patron prenait les mesures, derrière le large rideau de la boutique se trouvait des petites mains habiles, des doigts fins aux bouts piqués s’esquissant la journée tout du long à repriser, réparer, créer les uniformes.

Succursale discrète et ignorée de l’armée, ils étaient là pour les habiller. Fille d’une couturière zélée à la langue acérée, l’on connaissait Kapel mère pour son franc-parler et sa démarche assurée. Ton père figurait parmi ceux qui s’était laissé séduire par ce drôle de caractère, un homme marié mais avant tout un diplomate de Leistung malgré lui enamouraché. Personne ne fit d’histoire, personne ne se fâcha. Une pension fut déversée sous un faux nom jusqu’à la majorité de l’enfant. Sans rancune, tu n’entendis jamais davantage de cette histoire.

C’est face aux galons brodés, au bleu profond des uniformes que tu développas probablement cette drôle de passion. Les allées et venues réguliers des bottes cirées t’ont marquées, il y avait quelque chose dans leur démarche que tu enviais. Et si l’on te jugea délicate, ceci était une façade flouée par un visage angélique qui n’en portait que l’apparence. Il fallait croire que tout t’ennuyait, que la discipline ne pouvait t’effrayer. Que tu désirais prouver qu’il te serait aisé de t’impliquer, de tout supporter. Indispensable, voilà ce que tu voulais être et qui aujourd’hui te rendais fiévreuse au fond de ton lit.

Hargneuse, tu t’es acharnée.
Toujours dans ce même décor, dans cet hôpital de centre-ville, tu t’es époumonée. Le premier bras venait d’être posé et tu as supplié. Douleur lancinante qui faisait danser devant tes yeux des poussières, des points de lumière. L’on t’as dis « Si vous n’étiez pas prête pour les deux, il fallait abandonner. » La rééducation qui suivit, poursuivit les mêmes états d’âmes du passé. Tout te glissait des doigts, du simple crayon de bois à l’arme déchargée. Tout t’échappait en réalité.

« Me regarde pas comme ça. Souris pour moi, rend moi service. Fais au moins ça. On le mérite tous les deux, tu le sais ça? »

Et cette politique de l’autruche, tu l’appliquas tout du long. Sur toi, mais surtout sur les autres. Car tu grimpas dans la hiérarchie et l’on cru que ce fût le courage qui t’avais poussée jusque-là malgré ces deux bras maladroits. Dorénavant maîtrisés, l’on pensait que tu l’avais méritée, que tu étais un bel exemple de persévérance. Et toi tu n’avouas jamais que ce fût la honte et la rancune qui t’aidèrent. Que tu étais égoïste, plus terre-à-terre. Rien de noble ne t’avait animée, simplement l’envie massacrante de perdurer, peut-être de se venger. Une fierté mal placée, un refus d’être battue et abandonnée.

Tu représentes la pire espèce. Tu es aujourd’hui gradée, l’on dit que tu t’es illustrée. Mais pour toi, la vérité est, que tu n’as plus jamais remis les pieds au cœur du massacre. Toujours en retrait, cachée, tu es l’œil armé de tout un chantier sanglant, tu couvres les arrières, sauve les désespérés lorsque le timing te le permet. Tireuse affamée qui du haut d’une bâtisse délabrée, ne s’est plus jamais montrée aux côtés de ceux qu’elle est censée diriger.
BONJOUR.
Ne faisons point de formalités. Ici Vertigo, 22 ans. J'ai suivi le projet avant qu'il n'ouvre et l'ai stalké depuis (je suis une grande stalkeuse, tention). C'est un beau petit bijoux, en plus vous touchez vraiment mon kokoro en reprenant FMA. ♥️︎ (C'est PAS DU TOUT une partie de mon enfance en plus hein et j'avais pas du tout les mangas papiers dans ma bibliothèque non non). Sinon, je me suis permise de modifier un peu la couleur de la typo sur la fiche car je vous avoue que je possède des yeux de fragile et que le contraste noir/blanc a tendance à me foutre en l'air. ;; Sinon jvm, du love sur vous! ♥️

Yaoming
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Yaoming


Dim 11 Fév - 16:09
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s e i g n e u r
Cette fiche est même pas terminée qu'elle est juste déjà incroyable à lire
j'ai hâte de voir le reste sqjflqkf

hughesfdj

Vincent Campbell
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Vincent Campbell


Dim 11 Fév - 16:25
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bienvenue !
ta fiche est un véritable plaisir à lire, je fonds.
hâte de lire ta fiche complète !
omg omg omg

Napalm
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Napalm


Dim 11 Fév - 16:34
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arrête d'être parfaite s t p
merci
eyeofthetiger eyeofthetiger
bref je t'aime tu gères un peu trop la fougère \o

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Amara


Dim 11 Fév - 16:38
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Bienvenue ! ♥️ (Encore une fois, je suis arrivé bien aprés, mais why not. fck la logique. 8D )

Gabrielle, déja la ref visu (good choice !) mais juste déjà les p'tits infos que t'as mis dans ta fiche, rend si perf' ton perso'. Alors vivement la suite !!! Pour que cela soit pire que perf ♥️ heydaddy

De l'amour sur toi & bon courage ! hell

Gabrielle Kapel
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Gabrielle Kapel


Jeu 15 Fév - 20:53
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Yaoming › oh la la merci ;; (oublie pas qu'on attend aussi ta fiche avec impatience! ♥️︎)

Vincent › merci généralissime, j'espère que cette fiche décevra paas omg

Napalm › problemdude problemdude euh stp? arrête d'être cute et de faire des persos cool? okay?

Amara › aaw merci pour les mots doux, jpp!! possessed

La Vérité
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Votre Dieu
La Vérité


Jeu 15 Fév - 21:55
Message( J'ai oublié de me plaindre  quand ça en valait la peine. ) GABRIELLE Empty
pas de bras pas de chocolat
ohlala
Cette fiche nous l'attendions avec impatience - oui oui - et suite à cette lecture, on peut dire que la patience et la retenue n'était pas vaine car elle est v r a i m e n t géniale.
hell

Il est impossible de ne pas tomber d'amour pour ta plume des plus agréables, un style fluide qui se lit facilement, mais qui te transporte par les mots et la syntaxe. En bref, cette fiche est un petit bijou, une perle magnifique, j'adore, j'adhère. Et la musique, cette petite playlist était wow, je n'ai pas les mots tellement elle rend tes mots encore meilleurs.

Mais parlons de Gabrielle, de cette jeune fille qui, même après un accident - potentiellement mortel et traumatisant - est restée forte face aux autres et qui est restée dans les rangs de l'Armée, alors qu'elle aurait très bien pu partir pour ne plus revivre des tueries dans ce genre. Je lui trouve un charisme prenant, une force et un courage exaltant, ainsi qu'une droiture digne des hauts gradés de l'organe gouvernementale du pays. Gabrielle, pourtant, à cette sensibilité, ces peurs aussi, qui sont communes aux humains, oui c'est ça, Gabrielle est humaine et elle décide seulement d'avancer.

Cette fiche est poignante, sa bienveillance touchante et son accident accablant. Elle garde la tête haute devant ceux qui viennent la voir, alors qu'elle ne le vit pas bien, après tout elle a perdu ses deux bras,
on lui dit qu'elle risque la retraite, ce n'est pas facile pour le morale d'une jeune femme, surtout après avoir vu des massacres, y avoir participé, aussi.

Et puis Gabrielle a une belle mentalité, elle comprend qu'un héros de guerre est aussi un tueur, elle le sait et aimerait une sentence même si elle serait elle aussi condamnée pour les crimes de guerre qu'elle a commit, c'est une belle façon de voir les choses, surtout à Alkar où la peine de mort y est coutume,
où la guerre est omniprésente. C'est une femme pleine de conviction, et ça on adore.

Ainsi, je te souhaite la bienvenue sur Acclamatis, je te remercie de cette merveilleuse fiche ainsi que ce personnage absolument magnifique que j'ai hâte de voir évoluer sur le forum. Je t'offre un paquet d'amour, avec joie.

hughesfdj  hughesfdj
colgate

félicitations
Avant toute chose, n'oublie pas d'aller recenser ton avatar, ainsi que ton alchimie au besoin. Tu seras ensuite libre de créer des liens avec les autres, de même que faire une demande de rp.

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